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Santé

« Cette brochure est un petit manuel des infections sexuellement transmissibles qui s'adresse aux personnes disposant d'organes génitaux dits «féminins» ayant des relations sexuelles avec les autres personnes en disposant également qu'il s'agisse de femmes cis, d'hommes trans ou de personnes non binaires 

 

SOS homophobie a imaginé ce manuel contenant des informations clés : les moyens de prévention; les différentes IST, leurs symptômes et les complications possibles ; les pratiques à risque, le dépistage (quand, où, comment, etc.) ».

« La santé sexuelle des femmes lesbiennes, bies est l’une des grandes absentes des discours de prévention en France. Cette invisibilité participe à la construction sociale d’un sentiment « d’immunité » des lesbiennes, eu égard aux Infections Sexuellement Transmissibles (IST) , intériorisé et véhiculé aussi bien par les chercheur.e.s, les services et les professionnel.le.s de santé que par les femmes concernées.


Tomber la culotte !, est le premier projet  financé par les pouvoirs publics et conçu pour une diffusion nationale. Porté par les associations le Kiosque Infos Sida et Sida Info Service (SIS association), il a fait l’objet d’un financement de l’INPES dans le cadre de l’ appel à projet VIH-ISTde 2010. Il a été édité pour la première fois en 2011 et a pour objectif de créer une dynamique inter-associative sur la question de la santé sexuelle FSF (Femmes ayant des rapports Sexuelles avec des Femmes) ».

« Le Planning Familial de l’Isère s’associe à SOS homophobie Dauphiné Alpes Nord afin de développer une campagne de prévention et de promotion de la santé affective et sexuelle des femmes lesbiennes/FSF sur le territoire grenoblois ».

« Le safe sex à 100%, c’est possible mais ça reste contraignant ! Les femmes ayant des relations sexuelles avec des femmes sont tellement peu habituées à se protéger que poser la question à une/sa partenaire est gênant. Ce guide a pour but de donner des informations pour que vous puissiez décider quel(s) risque(s) vous êtes prêtes à prendre. Entre attraper une maladie à prendre au sérieux ou des champignons, il y a une grande différence… ».

« Il n’est pas toujours évident pour les femmes qui aiment les femmes de parler de leur sexualité à leur gynécologue. Il est pourtant important que la ou le gynécologue dispose de quelques informations sur leur vie sexuelle afin de mener à bien sa consultation. Certaines femmes ne se sentent pas accueillies dans leur spécificité et n’osent plus consulter. Ces expériences négatives peuvent constituer un frein dans leur accès aux soins et avoir des conséquences sur leur santé. Ce mémo à l’attention des gynécologues se propose de rappeler les besoins spécifiques des femmes qui ont des relations sexuelles avec des femmes (FSF) en matière de santé sexuelle et de regrouper quelques informations qui pourraient leur être transmises lors des consultations ».

« Étant donné le peu d’information disponible sur la santé des lesbiennes et leur sexualité, ILGA a décidé de mener un projet qui vise à démystifier certaines idées reçues qui peuvent avoir un effet néfaste sur la santé.

Certains de ces « mythes et réalités » sur la santé des lesbiennes concernent les cancers du sein et du col de l’utérus, le VIH/Sida et les infections sexuellement transmissibles, ainsi que le bien-être des lesbiennes. Ce projet a reçu le soutien de la Fondation Belge contre le Cancer ».

« Le rapport au risque VIH/IST des femmes qui ont des relations sexuelles avec des femmes (FSF) constitue une problématique nouvelle et encore peu documentée. Une récente recherche de sociologie réalisée par Sophie Devillard, pour le CRIPS Rhône‐Alpes et l’Université de Toulouse - Le Mirail, s’est intéressée aux mécanismes sociaux à l’œuvre dans les pratiques de prévention de ces femmes. Il en ressort que plusieurs démarches de prévention coexistent et que les moyens de protection peuvent également faire l’objet d’une réappropriation par leur érotisation. Cependant, plusieurs freins à la protection ont été pointés. Ils peuvent être individuels, notamment liés aux représentations : le VIH et les IST sont considérés comme appartenant au domaine exclusif du masculin. Ils sont également sociaux, parce que produits par un système hétérosexiste qui invisibilise les lesbiennes ».

« La violence dans les couples LGBT est rarement abordée dans notre société, par la presse communautaire, les associations LGBT ainsi que par les personnes directement concernées.  Pourtant, ces couples ne sont pas épargnés par ce phénomène ».

«  L’idée que des femmes aiment des femmes peut être perturbante car la société occidentale a longtemps véhiculé une image négative du lesbianisme. Ces représentations sociales peuvent soulever une multitude de questions et d’incertitudes tout au long du processus d’acceptation de votre homosexualité et vous amener à vivre diffi cilement cette orientation sexuelle voire la nier ou la refuser ».

« Ce document vous informe sur les IST (infections sexuellement transmissibles) qui peuvent être transmises lors de relations lesbiennes ou hétérosexuelles : modes de prévention, de transmission, dépistage, symptômes et soins ».

« Ce dépliant est un support pour aider les gynécologues  à entamer un dialogue avec leurs patientes lesbiennes afin de leur permettre de mieux les connaître. Lors de consultations, les gynécologues peuvent être amené·es à prendre en charge des femmes qui ont des  pratiques lesbiennes. Il est donc important de connaître les problèmes spécifiques qu’elles sont susceptibles de vivre. Leurs préférences sexuelles et leur mode de vie peuvent influer sur leur santé et il est nécessaire d’y être sensibilisé·es ».

« Vous pouvez penser que consultation gynécologique rime avec contraception, prise en charge des infections sexuellement transmissibles (IST), maternité. Vous ne vous sentez pas nécessairement concernées par ces thèmes. Cette brochure vous informe sur le suivi gynécologique préventif et l’importance qu’il revêt dans votre vie. Ce suivi régulier (une fois par an) peut se faire par un gynécologue comme par votre généraliste, s’il est formé en gynécologie. Le gynécologue reste le spécialiste de cette discipline  ».

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